samedi 9 avril 2011
samedi 17 juillet 2010
Etude du Marché de l'Or - 1er trimestre 2010
La dernière étude du Comptoir National de l'Or est faite à partir des études les plus sérieuses sur ce marché et notamment celles du Conseil Mondial de l'Or.
Aujourd'hui, l'Or ne cesse de battre des records. Cela va t'il continuer ? Quels sont les fondements du marché de l'Or ? Qu'est ce qui détermine l'offre et la demande sur ce marché et quelles sont les perspectives d'évolutions plausibles ?
Nous vous proposons de répondre à ces questions par l'étude rigoureuse de ce marché. Notre objectif est de mettre à votre disposition tous les éléments susceptibles de vous apporter une vision global des fondamentaux du secteur de l'Or.
'L'investissement dans l’Or physique, correspondant à la demande de lingots d’Or et de pièces d’Or, a quant à lui cru de 26% entre le T1 2009 et le T1 2010, à 182,5 tonnes (augmentation de 54% en valeur en Dollar US à 6,5 milliards de Dollar US). Là encore, la situation procède d’un profond contraste séparant les marchés occidentaux des marchés non occidentaux, bien que quelques exceptions soient à relever.
."L’activité de recyclage du vieil Or a en effet nettement baissé, de 43%, entre le T1 2009 et le T1 2010, à 343 tonnes d’Or.
L
a situation est quelque peu différente sur les marchés occidentaux où le recyclage de l’Or continue d’augmenter progressivement, en parallèle avec la montée des prix et une prise de conscience du potentiel du recyclage de l’Or de la part des consommateurs.
samedi 3 juillet 2010
Comptoir National de l'Or à Toulouse
mercredi 2 juin 2010
Ouverture d'un Comptoir National de l'Or à Toulouse
Les fondements de l'euro sacrifiés pour suspendre temporairement la crise
Les fondements de l'euro sacrifiés pour suspendre temporairement la crise
vendredi 25 décembre 2009
"L'or se hissera à 2.000 dollars, mais les actions vont rechuter"
"L'or se hissera à 2.000 dollars, mais les actions vont rechuter"
Gérant de fonds de hedge funds à Lyxor (filiale de
Capital.fr : La conjoncture économique tend à se stabiliser. Tablez-vous sur une reprise durable ?
Thierry Béchu : La croissance constatée depuis le troisième trimestre dans les pays développés aura du mal à se poursuivre au-delà de l'été 2010, car elle est due à un phénomène de restockage et aux aides massives des autorités. Le risque d’un double dip [rechute de la conjoncture, après une première phase de reprise, NDLR] est élevé. L'Etat soutient artificiellement l'économie via la prime à la casse automobile et des mesures fiscales, mais ces leviers vont progressivement disparaître. Le chômage reste élevé outre-Atlantique, à 10%, tandis que les ménages, frileux, augmenteront leur taux d'épargne, ce qui ponctionnera la consommation.
Capital.fr : La situation de l'Europe est-elle différente de celle des Etats-Unis ?
Thierry Béchu : Oui, car les cultures ne sont pas les mêmes. Les amortisseurs sont plus forts en France et en Allemagne qu'aux Etats-Unis, ce qui nous permet de mieux encaisser les chocs. La croissance hexagonale mettra toutefois plus de temps à repartir. L'Europe, empêtrée dans des problématiques inter-Etats membres, semble incapable de prendre des décisions rapides et suffisamment drastiques. Une prudence qu'on retrouve dans la politique monétaire de la zone euro. Plus sagement gérée que le dollar, la monnaie unique bénéficie d'une plus faible croissance de la masse monétaire qu'aux Etats-Unis. La zone euro est cependant hétérogène, avec des pays aux fondamentaux très différents. Même s'il est prématuré de tabler sur un éclatement de la région, le risque ne peut être exclu et gouvernera par périodes les variations de la devise européenne.
Capital.fr : Faut-il craindre un retour de l'inflation, compte tenu de la forte création monétaire ?
Thierry Béchu : La masse monétaire explose depuis la crise et cela pèsera mécaniquement sur la valeur des devises concernées. Cela devrait se traduire à terme par de l'inflation. Pour l'heure, les prix restent stables, et c'est étonnant, dans la mesure où on vient de connaître une des pires récessions depuis la seconde guerre mondiale. La chute brutale de la production industrielle aurait pu provoquer une déflation. A moyen terme, c'est pourtant l'inflation qu'il faut craindre, en raison du renchérissement attendu des matières premières, de la hausse des coûts liée à la multiplication des réglementations et du retour du protectionnisme.
Capital.fr : Un investisseur doit donc privilégier les biens tangibles ?
Thierry Béchu : Pour la décennie à venir, il faut en effet préférer l'or physique, les mines d’or et les matières premières, mais aussi les terres agricoles, les forêts et l'immobilier.
mercredi 9 décembre 2009
La bataille fait rage sur le marché de l'or
La bataille fait rage sur le marché de l'or
L'une des batailles actuellement les plus féroces du système financier mondial se joue sur le marché de l'or. Le repli brutal enregistré vendredi par le prix de l'once permet-il d'en prédire le vainqueur ?
D'un côté, il y a les Banques centrales et les Etats, qui font tourner la planche à billets et laissent se creuser leurs déficits budgétaires. De l'autre, il y a les investisseurs, qui craignent que cette attitude n'engendre une dévalorisation de l'argent papier, et qui achètent de l'or pour se prémunir contre cette éventualité.
Le prix de l'once a chuté de 4% vendredi. Même les inconditionnels de l'or reconnaîtront qu'il fallait s'attendre à une correction, compte tenu de la hausse de 56% qui avait été enregistrée au cours des 12 derniers mois.
Les spéculateurs à la baisse sur l'or pourraient cependant se pencher sur le facteur qui a déclenché cette débâcle - la publication aux Etats-Unis de statistiques meilleures que prévu sur l'emploi - et en conclure que l'économie se redresse et que les gouvernements vont bientôt pouvoir retirer les mesures de soutien qui ont profité à l'or.
Une période d'affaiblissement des prix du métal précieux est probable. Non seulement la flambée des cours a été intense, mais les Banques centrales ont récemment durci légèrement leur discours sur la politique monétaire.
Mais ce qui confère à l'or son attrait, c'est qu'il est pratiquement seul à permettre de se protéger à la fois contre l'éventualité d'un échec des mesures de relance gouvernementales et contre un dépassement par ces mesures de leur objectif. Si l'économie ralentit à nouveau, le réflexe des gouvernements sera probablement d'injecter encore des liquidités et d'alourdir leurs déficits budgétaires. Il est également possible que l'économie s'emballe, et que l'inflation remonte à un taux élevé. Or ces deux cas de figure sont tout aussi favorables à l'or l'un que l'autre.
En revanche, si le produit intérieur brut s'accroît, mais de façon laborieuse, et que les gouvernements tolèrent cette situation et laissent l'économie s'ajuster d'elle-même, alors le cours de l'or pourrait en pâtir.
source -Peter Eavis, Dow Jones Newswires
vendredi 20 novembre 2009
La Société Générale tire la sonnette d’alarme !
Le pire pourrait être devant nous. C’est une des hypothèses qui ressortent d’un rapport de la Société Générale, intitulé « le pire scénario de la dette», selon lequel les récents plans de sauvetage mis en place par les gouvernements mondiaux ont simplement transféré des passifs du secteur privé au secteur public, créant une nouvelle série de problèmes. Premier d’entre eux, le déficit. «Le niveau de la dette paraît tout à fait insoutenable à long terme. Nous avons pratiquement atteint un point de non retour en ce qui concerne la dette publique», précise le rapport de 68 pages.
L’endettement global est beaucoup trop élevé dans la plupart des économies des pays développés, par rapport à leur PIB. Aux Etats-Unis et dans l’UE, la dette publique représentera ainsi 125% du PIB dans deux ans. Au Royaume-Uni, elle s’élèvera à 105% et au Japon, à 270%. Le problème de la dette sous-jacente est plus important qu’il n’était après la seconde Guerre Mondiale, alors que les taux nominaux étaient similaires. Sauf que cette fois-ci, les gouvernements seront pris à la gorge, le vieillissement de la population rendant plus difficile qu’auparavant l’effacement de cette dette avec la croissance. Les pays émergents ne seraient pas non plus épargnés, même si leur marge de maneouvre sera plus importante qu’au sein des grandes économies occidentales.
Parmi les pires scénarios envisagés, le rapport évoque une nouvelle chute des marchés, une inflation galopante ainsi qu’une forte chute du dollar. Or quand la crise bat son plein, tout le monde se retourne vers la valeur refuge par excellence, l’or. Dans ce contexte, le prix du métal jaune atteindrait des sommets jamais vus. En plus du métal jaune, le rapport table qu’une autre valeur refuge devrait tirer son épingle du jeu, les denrées alimentaires. A contrario, la banque conseille de se désengager du dollar et des valeurs cycliques, telles que les technologiques ou celles liées au secteur de l’automobile.
mercredi 18 novembre 2009
La flambée de l’or attire les acheteurs
La flambée de l'or attire les acheteurs
L’or vole de record en record ! Plus de 1 130 dollars l’once, hier après midi, et un lingot qui flirte déjà avec les 24 000 €. Si l’Inde, le Sri Lanka et d’autres achètent massivement, les particuliers aussi. En Alsace, les négociants font face à un afflux de demandes, essentiellement de la part de professions libérales, de commerçants, et de cadres supérieurs…
De tout temps, le métal jaune a été une valeur refuge. Et aujourd’hui encore. La défiance vis-à-vis du dollar, mais aussi de l’euro, pousse nombre d’économies émergeantes à accroître leurs réserves d’or, parfois à en acheter de grosses quantités auprès du GMI. Car d’aucuns estiment, contrairement à la « pensée unique » du moment, que la crise financière n’est pas terminée, que d’autres secousses sont probables. Et que les déficits publics abyssaux ne pourront être résorbés, in fine, que par une nouvelle ère d’inflation.
« La crise n’est pas terminée et le dollar n’inspire plus confiance »
Pur fantasme ? Scénario catastrophe ? A voir. En tôt cas, la ruée vers l’or est bien réelle. « La flambée de l’or ne va pas s’arrêter là (…) ». Un gourou de l’investissement, Jim Rogers, acolyte de Georges Soros, prévoit l’once d’or à 2 000 $ avant 2020. « C’est évident, ça va continuer, la crise n’est pas terminée et le dollar n’inspire plus confiance à personne », assène Denis Schwartz, le patron du Comptoir de l’Or. « Grâce à notre site Internet Gold.fr, dit il, on vend dans
A défaut d’être une réelle place financière, Strasbourg devient une plaque tournante du commerce de l’or.
En dépit d’une concurrence de plus en plus intense (…), Strasbourg est devenue une plaque tournant du commerce de l’or. Les gens achètent l’or officiellement, raconte notre interlocuteur, ils passent à leur banque pour faire des virements sur le compte du professionnel qui va leur livrer l’or que ce soit sous forme de pièces Napoléon ou carrément de lingots. » Reste à savoir s’il en sera toujours ainsi au cas où les sénateurs parviendraient à soumettre les ventes de métaux précieux (Or, Argent, bijoux et œuvres d’art) à
L’affaire révélée par notre confrère Le Parisien n’est pas définitivement tranchée. Cela fait 2 fois que le texte est rejeté. L’assemblée nationale avait déjà tenté en vain. « Ce serait un vrai scandale, du n’importe quoi », fulmine Denis Schwartz : « Plutôt que de payer une taxe de 8,2 % à compter du 1er janvier prochaine, les investisseurs iraient alors acheter de l’or à l’étranger, en Europe ». Autant dire que
Quoi qu’il en soit, si les acheteurs, donc les investisseurs s’avèrent légion, les négociants voient aussi affluer des vendeurs. Pour profiter de a flambée de l’Or ? Pas vraiment. Les effets de la crise à commencer par la montée du chômage conduisent de plus en plus de personnes à vendre quelques bijoux hérités ici d’une tante, là d’un arrière grand-mère pour (…) arrondir « des fins de mois difficiles ».
Source : Les DNA (Dernières Nouvelles d’Alsace. Edition du 17 novembre 2009
mardi 17 novembre 2009
L'or profite de la désaffection des banques centrales pour le dollar
L'or profite de la désaffection des banques centrales pour le dollar
L'investissement en or fait chaque jour davantage d'émules. C'est maintenant au tour des banques centrales de plusieurs pays en voie de développement d'afficher leur préférence pour le métal jaune au détriment du billet vert.
La parité du billet vert face à l'euro évolue toujours aux environs de son point bas depuis douze mois. La désaffection vis-à-vis du dollar procède au même pas soutenu que ceux de la performance des marchés d'actions et de l'appétit des investisseurs pour certains métaux, dont les fondamentaux s'améliorent rapidement. C'est dans ce contexte qu'hier l'once d'or au comptant a une nouvelle fois amélioré son record historique, en se hissant à près de 1.137 dollars. Et ce n'est pas fini. Selon les analystes graphiques, l'objectif de court terme des 1.150 dollars est désormais à portée, ce qui ouvrirait à l'once la voie des 1.200 dollars.
Le sentiment très favorable à l'égard du métal jaune est également entretenu par plusieurs banques centrales. Hier, l'institut russe d'émission a déclaré par la bouche de son vice-président, Alexeï Oulioukaïev, être prêt à racheter la totalité de l'or que le Gokhan, le Fonds russe des pierres et des métaux précieux, projette de commercialiser. Il s'agirait de 50 tonnes, la plus grande quantité jamais proposée au marché depuis la chute de l'empire soviétique.
Deutsche Bank considère que l'engouement pour l'or ne se cantonne pas aux banques centrales russe ou indienne, laquelle a récemment procédé à des achats massifs auprès du FMI (200 tonnes). La banque allemande estime qu'il est partagé par ses homologues chinoise, japonaise, taïwanaise, singapourienne, brésilienne et coréenne. Autant dire que la totalité des économies émergentes les plus dynamiques souhaitent diversifier leurs réserves de change au détriment du billet vert et en faveur - quoique pas uniquement - de l'or.
Lame de fond
La Chine a annoncé qu'elle avait déjà accru ses réserves officielles de 600 à 1.054 tonnes. Cette lame de fond fait prédire à BlackRock, qui est à l'origine des principaux fonds de la planète investis en matières premières, que les banques centrales vont être acheteuses nettes de métal jaune en 2009. Et ce après deux décennies d'affilée où elles ont été vendeuses nettes. Depuis 1989, les détentions de métal jaune des instituts d'émission avaient fondu d'un sixième. Evy Hambro et Catherine Raw, les gérants de Black Rock, rappellent que l'or est entré dans un marché acheteur depuis 2001. Pour eux, la crise financière a accéléré cette tendance, également soutenue par les fondamentaux, dont l'inexorable déclin de la production minière depuis 2001. En 2008, son niveau a été le plus faible depuis 1996. Et elle n'est pas prête de rebondir compte tenu du coût total moyen élevé (environ 900 dollars l'once) et des délais physiologiques pour ouvrir de nouvelles mines (de 5 à 7 ans). Quant à la demande physique issue de la joaillerie (60 % à 80 % de la demande totale), Black Rock pointe les perspectives positives du marché chinois. Le seul au monde qui a progressé au deuxième trimestre (+ 6 %).
Source : Lesechos
lundi 16 novembre 2009
L'or dépasse les 1.130 dollars l'once
L'or continue de voir son cours progresser, volant de record en record depuis plus d'un mois et demi. Ce lundi 16 novembre, l'once de métal jaune s'est échangée à Hong Kong contre 1.131,50 dollars américains, soit le prix le plus élevé jamais enregistré sur le marché.
Ce nouveau record a été établi alors que la défiance des investisseurs vis-à-vis du dollar se poursuit. Ce lundi, l'euro gagnait du terrain face au dollar (+0,45%), à 1,4979 dollars.
Cette faiblesse persistante du dollar encourage les banques centrales à diversifier leurs actifs de réserves, et à augmenter leurs réserves d'or. L'Inde et le Sri Lanka ont recemment procédé à des achats massifs du plus précieux des métaux. L'Inde s'est procuré 200 tonnes d'or, via le Fonds monétaire international, au début du mois. Le Sri Lanka a pour sa part augmenté ses réserves d'or de 5,3 tonnes en septembre.
Bien qu'inscrites ces derniers jours dans un schéma haussier, l'incertitude qui plane sur les bourses mondiales est un autre facteur de hausse de la demande d'or. Le métal jaune joue toujours son rôle de valeur refuge, d'autant plus dans la période de doute que connaissent actuellement les économies mondiales.
mercredi 11 novembre 2009
L'once d'or pourrait atteindre les 2.000 dollars d'ici dix ans
L'ancien acolyte de George Soros, Jim Rogers, président de Rogers Holdings et investisseur reconnu pour ses prévisions sur le marché des matières premières, a annoncé que l'once d'or allait continuer sa progression année après année jusqu'à atteindre les 2.000 dollars d'ici dix ans. «Le dollar est une devise très imparfaite» et « la dette américaine qui est détenue à l'extérieur du pays progresse rapidement chaque année et je ne pense pas que Washington s'en inquiète» a-t-il déclaré pour soutenir ses prévisions.
Lors de ses déclarations, qui ont été enregistrées en marge d'une conférence de ETF Securities à New York, Jim Rogers a également abordé la progression continue qui devrait avoir lieu sur le marché des matières premières dans sa globalité. Le pétrole ou le sucre devrait ainsi voir leur prix s'élever avec une augmentation constante de la demande mondiale et une réduction de l'offre au cours des ans.
Jim Rogers a affirmé que les pays asiatiques en forte croissance allaient être les premiers acteurs de ce cycle haussier sur les matières premières.
Nouveau plus haut historique
L'once d'or a atteint un nouveau plus haut historique en séance pour le troisième jour d'affilée en allant tutoyer les 1.061,6 dollars jeudi en fin de journée. Jim Rogers, qui a déclaré «aimer l'or» a souhaité attirer l'attention des investisseurs sur deux autres métaux dits « nobles » que sont l'argent et le palladium un dérivé du platine. «L'argent est encore à 70% sous son plus haut historique» a-t-il indiqué, tout comme le palladium.
Originaire d'Alabama, Jim Rogers a fondé le Quantum Fund dans les années 70 avec un autre investisseur aujourd'hui célèbre George Soros. Dix ans seulement lui ont été nécessaires pour constituer une véritable fortune et prendre sa retraite à l'âge de 37 ans. Spécialiste des matières premières, il a lancé un fond dédié au marché des «commodities» en 1998 alors que le marché des matières premières venait de connaître vingt années de baisse.
Source lefigaro
vendredi 23 octobre 2009
Acheter des Pièces de 100 euros en OR ?
Acheter des Pièces de 100 euros en OR ?
La Monnaie de Paris propose depuis début septembre la vente de pièces en or d'une valeur faciale de 100 €. Oui 100 euros mais qu'en est il vraiment ? Il nous a semblé important de faire un point rapide sur l'attrait d'une telle offre. Nous allons donc expliquer pourquoi acheter une pièce de 100 euros en or, ou même de 250 euros d'or serait une grave erreur.
Le premier argument est qu'il dispose d'une valeur numismatique. Notre récent entretien avec un numismate de la place de Paris, George M., nous conduit à conclure qu'une pièce tirée à 50 000 exemplaires n'a aucune chance de devenir un jour rare et chère. Un collectionneur cherche la rareté, c'est à dire des pièces tirée à 500 exemplaires dont il reste peu de versions en circulation, et non ces pièces de 100 euros en or et 250 euros en or dont le caractère illimité du tirage les rend inintéressants pour les collectionneurs avisés.
Le second argument de ces marchands de pièces d'or est que leur valeur faciale (100 euros or et 250 euros or) est garantie par l'Etat. C'est un argument qui importe peu celui qui souhaite acheter un bien susceptible de prendre de la valeur. Votre billet de 100 € lui aussi est garanti par l'état, et au moins vous pouvez l'utiliser dans le commerce !!!
Reste l'argument de la valeur en Or. En effet, la Monnaie de Paris avance que ces pièces sont en or et que l'or prend de la valeur. Mais ce qu'ils ne disent pas, c'est que vous achetez une pièce de 100 euros en or qui fait 3,1 g d'or !! Ce qui correspond à une valeur intrinsèque de 69 € à condition que la pièce soit en or pure ce qui est rarement le cas ! Vous payez donc, au jour de cet article le 25 octobre 2009, la pièce de 100€en Or : 45 % plus cher que ce qu'elle ne vaut réellement !!!
Et l'histoire est la même pour la pièce de 250 € euros en or !!!
Notre conseil : si vous souhaitez vous protéger contre la perte de valeur de votre monnaie, c'est à dire si vous craignez l'inflation, deux remèdes : investir dans une valeur refuge c'est à dire l'immobilier ou l'or. Si vous choisissez d'acheter de l'or, éviter les pièces de la monnaie de Parie largement surévalué et cherchez du coté de l'or de bourse. Achetez des napoléons 20 frs ou carrément des lingots d'or si vous en avez la surface financière. Et si vous souhaitez jouer les collectionneurs, sachez que ce n'est pas ce genre de pièces d'or qui permettent de réaliser des plus values, rapprochez vous d'un numismate, il vous le confirmera !!!
De nombreux sites proposent de réaliser des transactions sur l'or en toute sécurité, d'acheter ou de vendre pièces d'or et lingots d'or à l'instar du plus ancien sur le web : http://www.gold.fr/ qui livre physiquement l'or à ses clients.
jeudi 15 octobre 2009
Placements : de l'or en vente chez Harrods à Londres !
Placements : de l'or en vente chez Harrods à Londres !
(Boursier.com) -- C'est une grande première ! Le célèbre magasin britannique Harrods propose à partir d'aujourd'hui des pièces et des lingots d'or dans son grand magasin de Londres. On pourra ainsi y acheter par exemple un lingot de
Le patron de Harrods, le milliardaire égyptien Mohammed Al-Fayed, s'est associé à une société suisse spécialisée, Produits Artistiques Métaux Précieux (PAMP) pour mettre au point cette offre, avec laquelle il espère attirer une clientèle fortunée échaudée par la crise et souhaitant se protéger de l'inflation.
"L'environnement financier actuel a éveillé une nouvelle demande pour l'or physique parmi les investisseurs privés britanniques", explique ainsi Chris Hall, responsable de la branche "Harrods Gold Bullion", cité ce matin par le quotidien 'The Telegraph', qui rapporte l'information. "Pour beaucoup, il s'agit d'une classe d'actifs nouvelle et peu connue, qui exige une confiance absolue... Jusqu'à présent, Londres n'avait pas d'enseigne reconnue présente sur ce marché".
mardi 22 septembre 2009
Recherche de Partenaires en Province
Dans le cadre de notre développement, nous recherchons des agents dans toutes les villes de plus de 50 000 habitants.
Les cours de l'or sont à nouveau au plus haut en atteignent presque les 1000 $ l'once. La crise économique et financière a redonné à l'or son attrait d'antant. L'or joue à plein son rôle de valeur refuge.
Notre site web Gold.Fr ouvrira bientôt ses portes en offrant de nouveaux services. Nos partenaires pourront profiter du soutien de cette plateforme et de l'important trafic qu'il génère.
Si vous êtes à la recherche d'une activité en pleine croissance, et que vous souhaitez devenir notre partenaire dans votre ville, vous pouvez nous contacter pour obtenir de plus amples informations à contact@gold.fr
Laurent SCHWARTZ
Directeur du Développement